Revue de presse
« Du travail d’orfèvre qui ravira les plus exigeants : textes signifiants, qui ne se prennent pas la tête, écriture à tiroirs multiples, jeu brillant sur les mots, mélodies entraînantes… Le tout porté par une voix souriante.
Il y a du Perret, du Lapointe, du Brassens et du Trenet, chez ce garçon-là. Une même finesse d’esprit et de traitement. L’air de rien, dirait Laffaille -autre ami de la famille…-, Régis Cunin pose un regard aiguisé, amusé ou tendre, émouvant ou décapant, mais jamais bien méchant, sur ses contemporains. »
(CHORUS n°44, été 2003, attribution du « cœur » CHORUS)
« Rien à retrancher dans ces lignes, auxquelles il faut au contraire ajouter ces onze nouvelles perles qui voient le Lorrain s’inscrire à sa façon dans le sillage des artistes susnommés… et de quelques autres qui ont pour nom Gainsbourg, Le Forestier, Anne Sylvestre, Lavilliers, Vian ou Souchon. De la belle ouvrage »
(Le blog de Fred Hidalgo, mars 2010)
« Régis Cunin joue avec les mots comme avec des pâtes à modeler de toutes les couleurs. Il entre en scène le regard pétillant et capte votre attention avec le fil de ses mots et son bonheur à les chanter. »
(La Lettre des Baladins n° 15)
« Son truc à lui, c’est la cuisine verbale. Mais pas n’importe quelle mixture. Enjoué et inventif, le chanteur Régis Cunin malaxe les mots avant de vous les servir en pâture, à sa façon, mélange de poésie et de fantaisie.» (Le Républicain Lorrain)
« Plein d’idées originales et farfelues » (Chant’Essone n°70)
« Un concert plein de clins d’œil, de jeux de mots, de mots inventés, servi par d’excellents musiciens » (L’Est Républicain)
« Voilà de la bonne chanson ! » (Je Chante n° 26)
« Régis Cunin offre une vision très saine -c’est-à-dire sans la moindre amertume ou le moindre « message » – du monde qui l’entoure, avec la candeur d’un gamin découvrant la vie (…) Des chansons « nases », « bancroches » et « sans mérite » de cette qualité, on en souhaite encore longtemps… » (VINYL n°38, septembre 2003)
« Régis Cunin a, à coup sûr, une des plus fines écritures de l’hexagone »
(Les Oiseaux de Passage, septembre 2009)
« Un feu d’artifice, un régal » (Claude LEMESLE, 2016)
« Champêtre et ingénu » (…) « La tangente que prend l’artiste est celle de la décroissance : instrumentarium bio, tempo primesautier, voix juvénile. Et si on revenait à l’enfance de l’humanité ? »
(Flavie GIRBAL, HEXAGONE n°9)